Sur les zones géopathogènes...

 

Le mot géo pathogène est composé de deux mots grecs: géo qui signifie  " la terre"  "tellurique" et pathos qui signifie " la souffrance" ou "la maladie". Autrement dit, il s’agit de souffrances venant de la terre ou de  maladies provenant de la terre.                                                                                                                                                 

ImageLes effets négatifs de zones géo pathogènes sur l’organisme humain ont été connus, selon les documents d’époque, de toutes les civilisations évolués. Les premières notes sur les «veines de dragon» (les zones géo pathogènes) datent de plus de 4000 ans et proviennent de Chine.  Puis l’empereur Kuang Yu a ordonné les recherches sur « les veines de dragon » et les eaux souterraines pour tous les terrains destinés à la construction. Avant de bâtir leur maison, les anciens Chinois, convoquaient un sourcier pour déterminer les « veines du dragon »- les zones d’influence tellurique.

 

                         

Aussi bien dans la Rome Antique ou en Egypte, on avait  connaissance de ces zones et il est prouvé qu’on a essayé de les éviter. Les habitants s’inquiétaient de l’augmentation de cas de tumeurs qui se manifestait dans ces zones. Par exemple en Egypte,  un troupeau de vaches était amené sur le terrain : on plaçait la construction là où les animaux s’installaient pour se reposer. La connaissance de ces « manifestations » se transmettait jusqu’à la renaissance- les nombreux monastères et châteaux ont été construits de façon à ce que leur murs courent le long des lignes de zones géo pathogènes…..                                                                                                                      

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                                                                Géo pathogène

Pathogène est tout ce qui influence l’homme et ces tissus de manière à provoquer les pannes, d’où zones pathogènes.

ZGP et la faune

Depuis toujours, le chien a été un bon indicateur des zones géo pathogènes.  Le meilleur endroit pour placer un lit est là où le chien s’installe pour dormir. Le chien ne peut dormir là où il est irrité par les infrasons qui lui rappellent le grondement. L’ouïe du chien est très bien développée ; elle est gérée  par son système neurovégétatif. Il entend les fréquences imperceptibles par l’oreille humaine et de ce fait en ressent les irritations.

Le chat est le contraire du chien. S’il est serein, il ronronne. Les « clapets » de vibrations dans sa cavité orale en respirant produisent un son semblable aux infrasons qui le « met en vibration » tout entier.  Il est à la recherche d’endroit qui lui rappelle ce son. Donc des zones pathogènes. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas placer un lit, un lieu de travail ou de repos là où le chat se repose.

Même les abeilles produisent plus de miel sur les zones pathogènes et les zones d’infrasons. Les infrasons ne les laissent pas se reposer et  les maintiennent dans la plus grande activité. Les bruissements leur rappellent leur propre son qu’elles produisent avec les ailes pendant leur activité diurne. Placer les ruches dans les ZGP améliore donc la qualité de peuplement des abeilles. 

Egalement les fourmis aiment les zones pathogènes. Elles produisent un son semblable aux infrasons. Les zones de fourmilières correspondent souvent aux ZGP.

Influence de ZGP sur l’homme

Les petits enfants y sont très sensibles. Ils cherchent toujours dans leur lit un endroit pour les éviter. Sinon, ils ont le sommeil agité. De ce fait, nous influençons l’état de santé de nos enfants par la sélection de l’endroit où nous plaçons leur petit lit.

Comme il s’agit de radiations d’énergie depuis la croute terrestre, en agissant pendant une longue période, celle-ci produit un effet négatif sur l’homme. Habituellement, ceci se manifeste par la défaillance du plus faible organe dans le corps humain. Le processus peut être accéléré par des facteurs héréditaires. Un séjour court dans ces zones produit chez un individu sensible des problèmes de concentration, le sentiment d’angoisse ou de fatigue inexpliquée. Un séjour long, par exemple le sommeil, peut démarrer un nombre de maladies, commençant par les plus banales  jusqu’aux plus graves. Les dernières sont dans la majorité des cas, conditionnées par d’autres facteurs. Selon l’opinion de nombreux chercheurs dans le domaine des thérapies naturelles, le respect de zones géo pathogènes fait partie de la prévention.

Dans la littérature spécialisée nous pouvons trouver que les zones géo pathogènes provoquent non pas seulement des maux de tête et de l’insomnie, mais aussi des maladies graves. Un séjour prolongé dans une telle zone peut causer après un certain temps cancer, maladies du foie, maladies des voies urinaires, infertilité, rhume chronique et bien d’autres. Une personne normale ressent l’effet néfaste des ZGP une fois malade.

L’influence de la radiation de longue durée dans les espaces habités peut par exemple provoquer la fréquence de pannes de genèse de l’acide ribonucléique (ARN), porteuse de l’information génétique. Dans le meilleur des cas, cette panne nuit à la fonctionnalité de la cellule donnée, dans le pire, elle influencera sa division - la scission d’une cellule peut entrainer le cancer. Cette augmentation progressive des erreurs peut durer même plusieurs années. 

Zones géo pathogènes

Le Dr. Juryška, oncologue à Olomouc (République Tchèque) a avancé l’hypothèse que le nombre élevé de cas de cancer à Olomouc était lié à la quantité de zones géo pathogènes  ce qui a donné l’impulsion pour de plus amples recherches.

Les résultats de ses recherches sont représentés par l’échelle de nocivité de ZGP. 

Echelle de nocivité de zones géo pathogènes

1. Faible, à la limite de sa perception. Ses effets sont facilement éliminés par l’organisme.

2. Facilement reconnaissable. Les effets sont bien éliminés par un organisme en bonne santé, un sujet malade sera sensiblement affaibli et le processus de guérison se rallonge.

3. Affaiblissement du système nerveux et apparition d’une légère nervosité. Un organisme en bonne santé arrive à les éliminer, un sujet malade ne présente pas de signes de guérison.

 4. Forte nervosité, dysfonction d’un organe, douleurs et maladies chroniques apparemment inguérissables mais qui s’améliorent en séjournant en dehors de la zone. Un organisme en bonne santé arrive à se défendre pendant un certain temps, un organisme malade n’y arrive plus.

 5. Apparition de malformations non malignes,  nervosité accompagnant la personne même en dehors de la zone, dysfonction des organes, qui ne  s’améliore pas en séjournant en dehors de la zone et qu’il faut traiter. Il en est de même pour les douleurs. L’état nerveux est similaire au stress.

6. Apparition de forts changements dégénératifs, précancéreux, dépression, apparition de douleurs d’origine inexpliquée, qui ne réagissent pas au traitement. Des pathologies similaires au degré précédent mais en plus grave. 

7. Pendant des années se crée la mutation et les changements cancérigènes. Une réaction nerveuse est possible (il s’agit de la zone de limite de la réactivité nerveuse)

8. Apparition de prolifération destructive durant quelques années, les réactions nerveuses sont manquantes. Dans cette zone l’homme se sent un peu mieux que dans la précédente (elle est insidieuse), les pannes d’organes ne sont pas si remarquables (même si elles sont lourdes). En général, le système nerveux n’est pas capable de surmonter les douleurs, le sommeil est minimal ou absent, apparente apathie, léger empoisonnement  par des produits métaboliques mal évacués, la peau est jaune-blanche mais la personne concernée ne se sent pas gravement malade.

9. Une prolifération destructive qui se manifeste sous quelques mois, si un décès ne survient pas avant suite au disfonctionnement d’un organe. Les pannes augmentent en flèche, un épuisement côté hormonal se manifeste, apathie - ni l’homme ni organisme ne se défendent, la régénération est absente, apparition des atrophies et empoisonnement par les produits métaboliques.

10. Problèmes d’organes et de leurs fonctions quasi instantanés, qui sont la cause de décès (donc plus de cancer). Arrêt de croissance, apparition d’une douleur sourde à la tête, plus de place pour l’apathie puisqu’une angoisse instinctive survient et même peur de ce lieu (hallucinations). L’homme ne peut offrir de résistance.

11. Perte d’équilibre (danger d’accident), sur quelques heures perte de connaissance, un fort état de choc peut causer le décès en quelques jours. L’état de l’organisme ne se régularise par des soins intensifs qu’exceptionnellement.

12. Lieux avec danger de mort. Le décès survient au plus tard dans quelques heures en fonction de l’origine de la radiation pathogène.

Les radiations de degré 11 et 12 sont très rares.

Sortes de ZGP

Une Zone géo pathogène est une zone irrégulière de l’espace, chargée d’une certaine sorte de radiation. Il s’agit de radiation électromagnétique, divers appareils récepteurs et émetteurs, radars, radios, champs magnétiques, rayonnement gamma, ultrason, infrason, microondes- puis de vibrations de gravitation dans les lieux où les masses sont en mouvement- les sources souterraines ou les veines d’eau, dislocations tectoniques et d’autres formes géologiques comme les réseaux Hartmann ou Curry.

Dans les lieux où les zones pathogène se croisent, l’influence destructive de radiation tellurique est très forte- l’effet est  multiplié.

 

Les zone géo pathogènes (les réseaux  Hartmann et  Curry, veines d’eau) et les émissions nocives des téléviseurs, ordinateurs et même téléphones mobiles  (la pollution électrique) peuvent être réprimées par le Somavedic convenablement placé.

Le Somavedic augmente l’efficacité des médicaments et des produits cosmétiques, pendant la maladie ; il soulage les douleurs, il aide à surmonter la maladie ; pour un organisme sain, il fait de la prévention. Il aide à régler l’insomnie et il complète le potentiel bio énergétique. Il a été prouvé qu’il avait aussi un effet positif sur les plantes et les animaux.