Informations de base sur la problématique

De nombreuses utilisations des technologies modernes sont impossibles sans courant électrique et rayonnement électromagnétique de haute fréquence. Toutes sortes d’installations ont été conçues pour produire et distribuer l’énergie électrique : des centrales, postes de transformation, lignes de haute et moyenne tension, câbles d’alimentation à l’installation électrique et aux appareils électriques dans nos maisons. Ce réseau de basse fréquence crée des champs électriques et magnétiques et par la suite une partie décisive de la charge électromagnétique de l’environnement, c'est-à-dire l’électrosmog. Aujourd’hui tous les appareils électriques et électroniques produisent aussi de l’électrosmog. Les réseaux sans fil sont de nos jours largement utilisés dans beaucoup de secteurs, entre autres dans la production industrielle, la logistique ou les technologies sanitaires. Dans notre vie privée, nous utilisons également ces technologies tous les jours : les équipements finaux comme les téléphones mobiles ou les PDA sont devenus des assistants indispensables pour un grand nombre de personnes. Les téléphones sans fil, Bluetooth, Wireless LAN, les commandes à distance des portails de garages, des appareils et des machines – toutes ces technologies sont basées sur les systèmes de communication sans fil. Il est possible de présumer que les technologies de réseaux sans fil seront dans le futur de plus en plus utilisées et ce dans de nouveaux secteurs. Les puissantes antennes-relais de la téléphonie mobile et de la télévision, les radars, de la surveillance militaire, du transfert de données de la transmission directionnelle etc. émettent des ondes électromagnétiques, c’est-à-dire l’électrosmog de haute fréquence. L’Organisation mondiale de la santé OMS a classé en 2011 le rayonnement de haute fréquence comme « potentiellement cancérigène ».

C’est à cette conclusion qu’a abouti un groupe d’experts de l’Agence internationale de recherche sur le cancer (IARC) de  Lyon. 31 spécialistes venant de 14 pays ont évalué à Lyon « pratiquement tous les documents scientifiques accessibles ».

L’exposition au rayonnement de haute fréquence provoque entre autres une qualité insuffisante du sommeil, une perte de vitalité, des maux de tête, des problèmes de concentration, des bourdonnements dans les oreilles, une baisse de la résistance psychique et physique et une plus grande charge pour le système cardiovasculaire. Selon les recherches internationales la liste va jusqu’aux maladies graves comme un risque plus élevé de développer un cancer, des modifications génétiques et des changements dans le système immunitaire et le système nerveux central. 

De nos jours, dans les villes, le niveau de base du rayonnement des signaux de communication radio dépasse le rayonnement naturel électromagnétique nécessaire pour la vie de dix millions voire d’un milliard de fois. Cette évolution mène au fait que nous sommes tous et partout exposés sans cesse au rayonnement électromagnétique et ce dans une forme et dans une intensité à laquelle l’humanité n’a jamais eu à faire face. Le danger de ce nouveau type de charge écologique consiste dans le fait que le système d’information du corps humain travaille aussi avec les signaux électromagnétiques naturels – ces derniers avec cependant des niveaux d’énergie des millions de fois plus bas! L’existence excessive de champs et de rayons électromagnétiques techniques entraîne dans la nature, chez les animaux et les gens de nombreuses perturbations biologiques provoquées par l’intrusion de signaux électromagnétiques techniques dans l’environnement naturel et le système d’information de nos cellules, le système et les organes corporels.

Chaque personne réagit à la charge électromagnétique dans son environnement de manière différente. Cette réaction dépend d’une part de l’intensité et du temps d’exposition aux fréquences électromagnétiques et aux modulations dont la conséquence est une combinaison unique d’effets, d’autre part de la disposition génétique de la personne, de l’anamnèse individuelle et de l’état de santé actuel, du système immunitaire, de la capacité de l’organisme à compenser la charge environnementale et de la résistance aux influences externes. En dépit des risques sanitaires du rayonnement électromagnétique de haute fréquence, prouvés par de nombreuses recherches, nous n’arrivons plus à imaginer notre société sans l’utilisation des appareils électroniques et électrotechniques comme les téléphones mobiles et les émetteurs de signaux mobiles nécessaires pour leur fonctionnement. Par conséquent il est compréhensible que les réflexions de l’homme penchent plutôt dans le sens de mieux se protéger contre les conséquences du rayonnement électromagnétique.

Somavedic est l’une des protections efficaces contre l’effet nocif de l’électrosmog. Nous avons décidé de tester son effet protecteur au laboratoire international scientifique IGEF et voici un extrait de leur expertise:

Test de l’appareil Somavedic MEDIC quant à son effet protecteur lors de la charge par un rayonnement électromagnétique, par exemple par les émetteurs de signaux mobiles, les technologies Wi-Fi et WLAN (Wireless Local Area Network), les téléphones mobiles, les smartphones, les téléphones sans fil et les zones géopathogènes :

Concernant notre test documenté ci-dessous : l’effet protecteur de l’appareil Somavedic MEDIC lorsqu’un électrosmog de haute fréquence, un électrosmog et des zones géopathogènes émettent une charge nocive pour la santé a été testé par dix personnes de sexe différent participant à différentes situations de test.

L’objectif du test était le suivant : constater si et éventuellement dans quelle mesure l’appareil Somavedic MEDIC est adapté pour protéger contre l’effet nocif du rayonnement électromagnétique de haute fréquence et de l’électrosmog. Seules les personnes réagissant de manière sensible à l’électrosmog, selon leurs propres dires, ont été choisies pour le test.

Justification du choix des mesures de la variabilité de la fréquence cardiaque en tant que système de diagnostic pour les fins de ce test

Le système neurovégétatif dirige de manière dynamique, en fonction de la charge externe et interne, l’équilibre intérieur de l’organisme. Le cœur réagit autant aux impulsions repérées sciemment qu’à celles non perçues par le conscient, comme par exemple aux impulsions du rayonnement électromagnétique et entrant dans le système neurovégétatif de l’environnement. La variabilité de la fréquence cardiaque est basée chez la personne en bonne santé sur une synergie optimale des branches sympathique et parasympathique du système neurovégétatif. Le cœur représente une source d’énergie électromagnétique d’une puissance de 2,4 watts dont les vibrations sont mesurables jusqu’à la plus petite des cellules de l’organisme humain. Tous les rythmes de la vie se manifestent sur la pulsion cardiaque. Si ces rythmes sont cohérents, en harmonie mutuelle parfaite, nous nous sentons bien. La variabilité de la fréquence cardiaque (Heart Rate Variability, HRV) est la grandeur principale de cette chaîne d’informations et le paramètre le plus important pour une évaluation exacte du confort psychique et de la vitalité.

Par la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV) on désigne la capacité (de l’homme, du mammifère) à faire varier sa fréquence cardiaque. Même au repos surviennent des variations spontanées des espacements temporels entre deux battements du cœur. Un organisme sain adapte sans cesse par sa régulation physiologique autonome la vitesse des battements du cœur aux besoins du moment. L’effort physique ou la charge psychique a d’habitude pour conséquence une augmentation du rythme cardiaque, en se détendant et pendant la relaxation le RC ralentit et retrouve des conditions normales. Une plus grande adaptabilité au stress se manifeste par une plus grande variabilité de la fréquence cardiaque. A cause de la tension prolongée due à une exposition chronique au stress, cette capacité est plus ou moins limitée et réduite. Les effets affaiblissants ou nocifs occasionnés, par exemple, par un rayonnement de haute fréquence ou bien par un électrosmog de basse fréquence ou des zones géopathogènes sont identifiés par le système nerveux comme une menace vitale. Lorsque l’organisme est exposé de manière prolongée à ces champs nuisibles, ces paramètres de stress l’empêchent de rétablir une situation normale ce qui entraîne une baisse de la variabilité de la fréquence cardiaque, c’est –à- dire de la capacité de l’organisme à s’adapter aux influences extérieures. Dans ce contexte il est possible de prouver l’effet protecteur du produit testé notamment sur la base des mesures de la variabilité de la fréquence cardiaque. La stimulation spontanée du système neurovégétatif par le rayonnement électromagnétique et par les zones géopathogènes est située bien en dessous du seuil de la perception physique. Néanmoins, la technologie sensible des systèmes modernes de mesures du feedback biologique (biofeedback) arrive à mesurer les plus petites réactions de gestion du système neurovégétatif, et ce surtout sur la base des paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque.

La reproductibilité des résultats des appareils modernes de mesure de la variabilité de la fréquence cardiaque a été confirmée dans les recherches même en cas d’intervalles courts de mesures. La méthode de la variabilité de l’impulsion cardiaque a donc été adoptée en tant que système de diagnostic pour déterminer si on constatait que le champ énergétique de l’appareil Somavedic Medic engendre chez les personnes participant au test une amélioration de la variabilité de fréquence cardiaque et s’il peut contribuer à augmenter l’adaptabilité individuelle de leur système biologique. L’utilisation de l’appareil Somavedic MEDIC lors d’une charge nocive d’un rayonnement électromagnétique de haute fréquence, de l’électrosmog et des zones géopathogènes devrait entraîner une amélioration prouvée de la variabilité de la fréquence cardiaque, agir de manière positive sur le système cardiovasculaire et diminuer les dépenses du système neurovégétatif pour maintenir l’équilibre interne de l’organisme.

Test biophysique de l’effet énergétique de l’appareil Somavedic MEDIC en utilisant le système de mesure de biofeedback  Stress Pilot Plus

Dans cette étude nous avons noté les changements de signaux physiologiques chez les personnes participant au test comme feedback du système neurovégétatif par rapport à l’information bioénergétique de l’appareil Somavedic MEDIC sur la base de mesure de la variabilité de la fréquence cardiaque. Les résultats des mesures ont été ensuite évalués par des méthodes mathématiques et statistiques.

 

Conclusion

Il est possible de conclure sur la base des mesures que l’utilisation de l’appareil Somavedic MEDIC entraîne chez 80 % des personnes une amélioration avérée de la variabilité de la fréquence cardiaque. Ceci a une influence positive sur le système cardiovasculaire et diminue les dépenses du système neurovégétatif pour maintenir l’équilibre interne de l’organisme.  Les résultats mesurés démontrent que l’influence positive de l’appareil Somavedic MEDIC augmente quand il est utilisé de manière prolongée. Après plusieurs jours d’adaptation, la capacité de réguler la fréquence cardiaque et d'adapter le système neurovégétatif par rapport aux différentes charges provoquées par l’électrosmog et des différentes zones géopathogènes s’est améliorée chez les huit personnes participant au test. Les résultats mesurés étaient en grande partie confirmés également par les affirmations des personnes participant au test concernant leur perception subjective de la réaction de leur organisme par rapport au champ bioénergétique d’information de l’appareil Somavedic MEDIC.